de 18 h à 22 h
Pour célébrer les fêtes de fin d’année, le Labo vous invite à une soirée conviviale et chaleureuse dans son studio. Les festivités débuteront avec l’artiste Marisa Hoicka qui en utilisant les nouveaux médias, nous présentera une perfomance viscérale et surréelle, dans laquelle réssuscitera la « nature morte ».
La soirée se poursuivra en musique en compagnie de TheVinylDen qui mixera ses platines au son des tubes des années 50 à 2000 – Une expérience analogue inoubliable.
Après des études cinématographiques à Paris, Alex réalise son premier documentaire créatif sur l’écriture du cinéaste à la Palme d’Or, Théo Angelopoulos, avec qui il aussi travaillé. Plus tard, son court-métrage de fiction, « L’Homme d’à côté » fait son chemin dans les festivals et à la télévison.
Arrivé à Toronto en 2004, il rejoint la gang du Labo naissant et en devient l’un des membres fondateurs. Très actif, il participe, entre autres, à des installations emblématiques du Labo avec des vidéos expérimentales.
Manuel Chantre partagera ses impressions sur les arts numériques et les nouveaux médias et nous parlera de ses projets, tels que la Scotiabank Nuit Blanche, les installations Light Attraction and Memorsion et le film immersif Six Mil Antennas. Sa présentation sera suivie d’une période de discussion où le public aura la chance de poser des questions et d’échanger avec l’artiste.
Pour son premier lancement de saison, Le Labo vous invite à venir découvrir les expositions et ateliers tout en participant à un encan silencieux d’œuvres inédites créées par ses membres autour d’un format commun : 1x1x1.
Les œuvres seront exposées à partir du mardi 28 août 2012, date d’ouverture de l’encan. Afin de soutenir et de promouvoir ses membres francophones et francophiles, la vente des œuvres sera en partie versée aux artistes. Ainsi nous vous invitons à vous joindre au Labo pour cet évènement.
ENCAN : du 28 août au 5 septembre 2012
La circulation des fluides II fut réalisé lors d’une résidence de création au SESC Pinheiros dans le cadre d’un échange artistique entre la ville de Québec et São Paulo au Brésil.
Christos Tsirbas, vice-président actuel du Labo, est un réalisateur, photographe et écrivain dont le travail est paru au National Post, fab, Instinct et à Radio CBC entre autres. En 2009, il a été finaliste au Concours Tremplin de l’Office National du Film pour des réalisateurs émergents. Son court métrage Smile a gagné le premier prix au Toronto Urban Film Festival de 2008 et meilleure animation au Nokia MobiFest de 2009. En 2007, il a été nommé « Toronto Mobile Filmmaker of the Year » à Mobifest pour son court métrage Upgrade.
Situé dans un des plus beaux lieu de diffusion de Toronto, le Centre Harbourfront, le Festival Francofête est un évènement majeur francophone dans la région.
Afin d’augmenter le rayonnement de ses membres et sa visibilité dans la communauté francophone et francophile, Le Labo participe à la 30e édition de Francofête.
Dominique Banoun est coordinatrice, chorégraphe, interprète et choriste. Après une formation de danse en Angleterre, elle participe à des spectacles multimédia à travers le Canada dont Expo 86 à Vancouver, Lost In Space (1988), Synektikos (1990) à Windsor, Head to Toe (1991) à Toronto, L’Ombre d’un Doute et BUS 123 (1991-92) à Montréal et Toronto. Son parcours l’amène aussi à présenter des spectacles en France et aux États-Unis. Passionnée de l’improvisation, du chant et de la vidéo, elle collabore à la création de spectacles événements et chante dans deux choeurs.
Tous les deux mois, Le Labo propose de rencontrer l’un de ses membres, artiste francophone qui évolue sur la scène artistique Torontoise.
Pour cette semaine particulière Le Labo vous propose de rencontrer Ana Lorena Leija, metteure en scène.
Ana Lorena LEIJA est née à Mexico. Elle a fréquenté l’Université Nationale du Mexique, où elle a obtenu sa licence en littérature dramatique.
Elle a ensuite travaillé comme comédienne, metteure en scène, assistante à la mise en scène, et assistante à la production.
Vernissage : Vendredi 24 février 2012, 18h30
« Il y a une fissure, une fissure dans tout, comme ça, la lumière peut entrer », Léonard Cohen
Il y a une certaine beauté dans l’imperfection. Il y a toujours une justification à la déconstruction et au démantèlement de ce qui nous captive. En laissant entrer la lumière, nos pensées s’éclaircissent – et la clarté est généralement suivie de réflexions personnelles.