Le travail de Joyce Joumaa expliqué par l’artiste elle-même ? C’est le jeudi 11 avril à 18h au Labo et/ou sur Zoom, en partenariat avec Images Festival. Retrouvons-nous autour d’un verre pour discuter cinéma, architecture et engagement politique. Ne manquez pas la projection de son film L’inertie du vide le vendredi 12 avril à 20h au Innis Town Hall.
8 MARS AU LABO : Vernissage | Performance | DJ Set

On célèbre le 8 mars en beauté ! Venez découvrir lors du vernissage de l’exposition « 6 degrés, territoires de narration », la radio-performance de l’artiste Geronimo Inutiq avec son œuvre « J’appelle chez nous | I’m calling home ». La soirée se poursuivra avec un DJ set innovant. Une soirée placée sous le signe du partage, de la collaboration et de l’écoute.
En vitrine

Pour la nouvelle année, un espace d’exposition alternatif, en collaboration avec l’Université de l’Ontario français. Découvrez le travail de trois artistes torontoises accompagné de projets de médiation créés par des étudiants en cultures numériques.
Vernissage le 16 février à l’université de l’Ontario français
Soirée de « lectures électroniques »
Appel à participation | 6 degrés, territoires de narration
Flânerie au MOCA | Liz Magor, The Separation

Dans le cadre de notre programme de flâneries, rejoignez-nous au Museum of Contemporary Art pour découvrir le travail de Liz Magor au travers de l’exposition The Separation. . Prenez votre ticket directement sur le site web du MOCA ou au comptoir. Événement en priorité pour les membres du Labo mais ouvert à tout.e.s.
RDV au MOCA le jeudi 11 janvier à 13h00
Le Bazz’ART du Labo | Exposition collective
Novembre Numérique à It’s OK Studio*
La vie de Julia, ou l’histoire qui manquait à l’arbre

Lorsque Camilla démarre un projet, elle se laisse une totale liberté d’exploration, réfléchissant autant sur la part de fiction que de réel, utilisant son téléphone portable, enregistrant des conversations avec son Zoom H4N Pro, récoltant des moments de vie qui pourront l’inspirer et lui servir, tout en lisant et regardant le travail d’autres cinéastes. Elle me confie que c’est un besoin vital d’être au quotidien dans un processus créatif, restant ouverte à l’imprévisible.
Vers un autre langage

Pascaline me confie que son amour pour la musique, c’est en arrivant à Toronto qu’il s’est réellement construit, grâce aux concert, aux artistes talentueux qu’elle rencontre et au musiciens de percussion live composant la musique de ses cours de danse. “Cette connexion entre la musique et la danse est si ancienne, et donc universelle. Mais cette musicalité elle est aussi dans la danse en elle même, comment on crée une certaine musicalité dans les mouvements? C’est un sujet qui m’est très important, parce que je l’ai découvert dans ma façon de danser.”